Nush Eluard, photo de Dora Maar Difficile d'échapper au cliché. Même quand on est écrivain, dit social. Même quand on est écrivain à Goncourt, qu'on prend des positions souvent inattendues, à défaut de plaire elles interpellent. La position inattendue l'et bien moins dès lors qu'elle est cliché, et quitte à tomber dedans faire grand. Tout le monde devait être au courant, sauf moi je pense. Il faut que ça passe dans le Monde , c'est le seul journal main stream que je lis. Tout le reste (de ce que je lis) est du militantisme, blogs ou newsletters, souvent féministe, écologiste parfois politique. Bref, très teinté et orienté et pas un média où j'aurai pu lire ce genre de ragot. Je reviens à mon écrivain tombé dans le Cliché (avec une majuscule tant qu'à faire). Je parlais de Nicolas Mathieu précédemment, dans mes histoires de vie en boucle ou en ligne, une interview de lui m'avait éclairée. Je m'étais gentiment penchée sur son roman récemment paru,...
Il faut travailler à ce que l'on peut, et pour le reste tout prendre avec légèreté et bonne humeur. On ne se rend pas la vie meilleure en étant amer.
Rosa Luxembourg