Françoise Pétrovitch, expo derrière les paupières à la Bnf A l'opposé de Franzen, il y a Despentes. Pas de Dieu, mais des cas de consciences, des cas de vie plutôt. Sans en faire tout un plat, mais un livre bien sûr, qui n'a rien de moral, ni de moralisateur. Despentes, c'est la Solanas contemporaine. J'adore la radicalité, la brutalité, l'absence de recherche de consensus. On s'en fout d'être aimé, d'être apprécié. Ce n'est pas non plus la provocation pure, c'est être et dire sans se poser la question de l'accueil, de l'effet de la réception. Décidément plutôt crever que de faire du yoga. Cher Connard - Virginie Despentes. Le livre a fait le buzz à la rentrée. Nommé comme le livre "féministe" par excellence. Ce n'est pas un livre féministe, c'est un livre de son temps, qui parle des sujets de son temps et qui prend le temps de décortiquer les points de vue, sans dire ni la bonne parole, ni la bonne action. Il décrit ...
Il faut travailler à ce que l'on peut, et pour le reste tout prendre avec légèreté et bonne humeur. On ne se rend pas la vie meilleure en étant amer.
Rosa Luxembourg