Marseille, avant le game over Cher François J'étais prête à t'aider. Je te voyais en peine à essayer de faire ton budget, sans passer par la censure qu'elle soit de l'extrême droite ou de la simple gauche. Je t'observais guetter pour rester un peu plus longtemps que Michel (B.), toi qui avias eu tant de mal à avoir un vrai poste politique au gouvernement. Toi, qui pendant des années s'est présenté, n'a pas été ni élu ni retenu comme premier. Juste quelques fois à l'Education, et c'est bien embêtant d'ailleurs, l'Education, ça te rattrape aujourd'hui. Tu m'as fait de la peine, d'avoir ton heure de gloire à 74 ans, à l'heure où on s'occupe plutôt de ses petits-enfants, de son jardin et de ses sudokus. Toi tu réalises ton rêve : première figure du gouvernement. Je t'ai vu inoffensif, gentil mollasson au service de la République, à ton âge ta carrière n'était plus en jeu, elle était à son apogée, tu serais au service d...
Il faut travailler à ce que l'on peut, et pour le reste tout prendre avec légèreté et bonne humeur. On ne se rend pas la vie meilleure en étant amer.
Rosa Luxembourg