à la Fondation Cartier J'y suis retournée une deuxième fois. La première fois j'avais été submergée. La deuxième, j'ai vu plus de choses, j'ai senti plus de nuances dans les émotions. Et je n'exclus pas d'y retourner. C'est comme un bain, ça régénère, ça fait du bien pour les yeux, ça m'enveloppe de beauté, je ressors en ayant confiance. La beauté me faut du bien. L'émotion de la beauté me lave des autres (émotions). J'aimerai y aller avec un fauteuil confortable un bon livre et y passer du temps. Je revois encore la salle du bas, en respirant je la ressens. C'est comme un rêve, un lieu apaisant, a safe place. Un endroit qui sauve le monde. C'est une Aborigène d'Australie des territoires du nord, au delà même, elle vient d'une ile isolée dans le golfe de Carpentrie. Cette femme a vécu toute sa vie avec sa communauté, isolée sur ces iles (les iles Wellesley). C'est à 80 ans qu'elle visite pour la première fois un musée...
Il faut travailler à ce que l'on peut, et pour le reste tout prendre avec légèreté et bonne humeur. On ne se rend pas la vie meilleure en étant amer.
Rosa Luxembourg